conseil
Découvert sur le tard (à plus de 50 ans) dans les bouges de Brooklyn, Bradley, cet inconditionnel de James Brown, a tout ce qu’il faut pour alimenter le revival de la soul 60’s / 70’s, un peu à la Sharon Jones.
Ce dernier disque, au titre et à la pochette un poil kitchs, déborde de tant de classe qu’on se croirait revenu au bon vieux temps. A trop regarder dans le rétro, on n’avance plus beaucoup, mais là, quand Charles Bradley dégaine son Rythm ‘N’ Blues, on est sous le charme.
Christophe