conseil
L’aura de Disappears n’est pas près de disparaître tant leurs trois derniers albums sont beaux. Mais alors, à l’image d’ « Irreal » : une beauté glaçante, fiévreuse. N’allez pas y trouver de quoi vous remonter le moral. « Irreal » a la matière de ces disques qui deviendront des classiques avec le temps. Un trou noir au firmament, mes amis, pas une étoile, non, sorte d’icone des ténèbres pour les jours plus compliqués que d’autres. Je suis sûr que vous voyez ce que je veux dire.
Christophe