On pourrait l’appeler « Antingone à Beyrouth ».
1982. Superbe livre qui donne envie de mieux comprendre ce qui s’est passé à Beyrouth entre Chrétiens, Salafistes, Druzes, etc.
Le héros, ancien soixante-huitard gauchiste a comme ami un metteur en scène grec (exilé depuis le temps des Colonels) qui a décidé de lutter contre la guerre en obtenant l’accord de toutes les factions de faire une trêve de quelques heures dans le no man’s land de Beyrouth pour jouer la pièce Antigone (de Anouilh) comme celui qui l’avait fait à Paris pendant la Seconde Guerre Mondiale, mais avec des acteurs de toutes obédiences.
Sur le lit de mort de son ami grec, il promet de continuer le projet… cela va lui changer sa vie.
Livre attachant.
Marie-Françoise
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