Des jeunes et jolies cambrioleuses s’attaquent au Musée du Louvres et à la Grande Odalisque, le célèbre tableau d’Ingres. Le parallèle avec la série animée japonaise cat’s eyes s’est rapidement et souvent imposé, je dirais à tort. Ruppert et Mulot au scénar, dont on pouvait attendre peut-être plus de folie et de loufoquerie au vu de leurs réalisations passées, ne sont quand même pas dans la même cour de récré que les mangas aux kilomètres des années 80.
Une histoire dynamique, excessivement rapide (trop ?), servie par l’inénarrable Bastien Vivès dont on ne pourra, une fois de plus, pas reprocher grand-chose, même si l’envie ne manque pas car on est forcément très jaloux des gens talentueux et faciles.
One shot réussi à condition de prendre un peu le temps de l’apprécier. Sinon il risque de vous glisser entre les neurones pour ne jamais y revenir.
