conseil
Bashung, pour les nostalgiques, ça a toujours été bon. Mais reconnaissons quand même qu’en 1998 l’oxymore « Fantaisie Militaire » lui fait ouvrir les portes de la légende. Un album émotionnellement puissant, d’une poésie et d’une ambition rares dans la chanson française. « L’imprudence » viendra quatre ans plus tard apporter un revers de médaille aussi sombre que réussi à cette « fantaisie ».
Christophe