conseil
Vous ne pouvez plus dire que vous ne connaissez pas Ty Segall. Non seulement on le défend depuis quelques années (Fuzz, album Sleeper) mais il commence petit à petit à se faire un nom, récupérant au passage la couronne de roi du rock psyché garage à John Dwyer des Thee Oh Sees, qu’on croyait pourtant indétrônable.
Que vous dire de cet énième album du gamin ? Ben qu’il est parfait, tout simplement. N’y cherchez aucun défaut, il n’y en a pas, c’est pas compliqué. Et ça ne souffre aucune discussion. Une leçon magistrale.
Christophe